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dimanche 21 mars 2010

ZOOM SUR CES BRAVES DAMES D'EMPLOYEES DOMESTIQUES



8 MARS JOURNEES INTERNATIONALE DE LA FEMME

Zoom sur ces braves femmes, d’employées domestiques
Le Sénégal à l’instar de la communauté internationale a célébré ce 8 Mars la journée internationale de la femme. Occasion pour aller à la découverte de ces femmes qui gagnent leur vie dans la profession d’employée domestique.

La journée internationale de la femme a été célébrée ce 8 Mars partout dans le monde. La célébration de cette journée a été marquée par des manifestations pour la promotion de la femme, des séminaires d’informations et de sensibilisations ainsi que des conférences. Pour rappel cette journée dédiée aux femmes trouve son origine dans les manifestations de femmes au début du XXème siècle en Europe et aux Etats-Unis, réclamant l’égalité de meilleures conditions de travail et le droit de vote. Il a fallu attendre 1977 pour que cette journée soit rendue officielle par les Nations Unies en appelant ainsi chaque nation du monde entier à célébrer cette journée pour les droits des femmes.

Cette journée consacrée aux femmes nous parait une opportunité pour faire un coup d’œil sur ces femmes familièrement appelée « bonnes » qui gagnent leur vie dans la profession d’employée domestique. C’est une profession souvent dévalorisée, exercée majoritairement par des jeunes femmes car leurs âges varient entre 15 et 30 ans. L’empois domestique, se pratiquant dans les domiciles constitue un moyen de survie pour des milieux de femmes issues la plupart d’entre elles dans le milieu rural. Cette forte présence de ces femmes dans les travaux domestique est encouragée par le phénomène de l’exode rural.

Une descente dans un domicile sis au Parcelles assainies unité 11 nous a permise de recueillir des avis de certaines employées domestiques. Une employée sous ouverte de l’anonymat trouvée sur place en train de faire le linge. Interrogée sur cette journée, l’employée ignore tout à fait le contenu de cette journée et sa signification. Interpellée sur ses conditions de travail, l’employée soutient que « les travaux domestiques à faire quotidiennement sont énormes, alors que nos salaires sont assez misérables ». En d’autres termes, les employées qui effectuent ces taches domestiques ne sont pas rémunérées à leur juste valeur, mais juste un salaire de subsistance. En dehors de ces salaires assez misérables, les employées domestiques par leur vulnérabilité, sont souvent victimes d’harcèlement sexuel et de viol dans leurs lieux de travail.

Concernant les relations employeurs-employées, elles son souvent heurées par des disputes de la part des deux parties liées aux taches domestiques. En dépit de ses difficultés rencontrées par ces domestiques certaines d’entre elles, entretiennent des très bonnes relations avec leur maitresse. Les domestiques constituant une frange importante de la population possèdent les même droits et devoirs que tout autre citoyen du pays.

Abdou Diaw


mercredi 17 mars 2010

LA PAUVRETE EST-ELLE TOUJOURS LIEE A LA FAIM?



















La pauvreté est liée à la faim dans la mesure ou si on n'a pas les moyens financiers il sera trés difficile d'assurer sa nourriture. Si l'individu n'a pas de boulot, il lui sera difficile de trouver un moyen de survie pour satisfaire ses premiers besoin naturels. A l'heures actuelle le taux du chomage a atteint des proportions  inquiétantes partout dans le monde accentué par la  crise économique récente aux USA et en Europe par; conséquent beaucoup d'individus sont frappés par ce fleau. Selon les derniéres estimations de la FAO "En 2009, la faim dans le monde avait atteint son plus haut niveau dans l'histoire : près de 1 020 millions de personnes en souffrent chaque jour"

vendredi 12 mars 2010

UN BUS DE DAKAR DEM DIK ARRETE PAR DES ETUDIANTS DE LA FASEG


Les etudiants de la facukté des siences économique et de gestion ont arrété un bus appartenant à la sociéte Dakar dem dik depuis jeudin passé

vendredi 5 mars 2010

AVENUE CHEIKH ANTA DIOP, LES MARCHADS AMBUALANTS PLIENT BAGAGES


  Les marchands ambulants plient bagages

Les travaux entrepris par l’Agence Autonome des Travaux Routiers sur l’avenue Cheikh Anta Diop perturbent les activités des marchands ambulants. Echoppes et cantines qu’ils avaient fini d’installer ont été emportées par les bulldozers.

Les usagers qui ont l’habitude d’emprunter l’axe routier allant de l’hôpital Abass Ndao à Ouakam ont du constaté un nouveau décor. Depuis quelques jours, bulldozers, engins et autres machines démolissent tout sur leur passage. C’est ainsi que des cantines, des kiosques, des échoppes longées sur cet axe routier ont été emportés par ces machines. Cette opération de libération de la voie publique conduite par l’Agence Autonome des Travaux Routiers(Aatr) pour le compte du ministère des infrastructures, a causé beaucoup de désagréments chez les marchands ambulants dans leurs activités quotidiennes. Et a rendu difficile la circulation des véhicules.

Un marchand ambulant répondant au nom de Modou, trouvé sur place entrain d’étaler ses articles sur une bâche dressée sur le sol, se désole de cette situation : sa table, qui lui servait de support pour ses marchandises, a essuyé le passage des bulldozers. Un de ses amis, installé à quelques mètres plus loin, déplore pour sa part le délai qu’il juge « trop court que leur ont accordé les autorités ». Sommés de quitter l’avenue qu’ils encombraient, certains marchands ambulants ont fini de s’installer ailleurs. Le « couloir de la mort », très emprunté par les étudiants de l’université Cheikh Anta Diop, qui s'était transformé en un mini marché a été également visité par les bulldozers sous une présence des éléments du Groupement Mobile d'Intervention(GMI)

Ces travaux interviennent à un moment où ce n’est plus le grand amour entre marchands ambulants et autorités Etatiques. Le ministère des infrastructures piloté par Karim Wade et Khalifa Sall, le nouveau maire de Dakar mènent, depuis quelque temps, des opérations de désengorgement de la ville. Tous les trottoirs des grandes artères étant occupés par des marchands. Pour les reloger, il est prévu l’aménagement d’un espace où ils pourront exercer librement leur commerce.

Ces travaux entrepris par les autorités ne font pas forcément l’affaire des étudiants. Beaucoup d’entre eux effectuaient leurs petites emplettes auprès de ces marchands ambulants aujourd’hui déguerpis. Et qui jadis occupaient la très animée avenue Cheikh Anta Diop. Cependant, certains étudiants interpellés apprécient cette opération d’élargissement. Pour eux, elle permet de rendre la circulation beaucoup plus fluide. Un des responsables des travaux trouvé sur place en pleine supervision, a fait savoir que ces travaux entrent dans le cadre de la phase du projet d’élargissement et d’aménagement des axes routiers allant de l’hôpital Abass Ndao au monument de la Renaissance.



                                                                                                                                   Abdou Diaw