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samedi 24 avril 2010

PREMIERE EDITION DE LA RANDONNEE PEDESTRE DES ETUDIANTS HANDICAPES DE L'UCAD


Première édition de la randonnée pédestre des étudiants handicapés de l’UCAD

Les organisateurs satisfaits de la mobilisation, comptent pérenniser cette initiative.

La direction de la Vie estudiantine et des relations avec la cité (DVERC), en collaboration avec l’association des étudiants handicapés de l’université de Dakar et Handicap International ont tenu ce samedi la 1ére édition de leur randonnée pédestre au sein du campus universitaire. Le pari de la mobilisation a été réussi selon les organisateurs avec une participation d’environ 400 marcheurs.
«La solidarité et la sensibilisation dans le cadre des activités d’accompagnement des étudiants (es) en situation handicap au sein de l’UCAD », tel était le thème choisi par la DVERC en partenariat avec les étudiants handicapés de l’université Cheikh Anta Diop et Handicap International à l’occasion de leur randonnée pédestre, qui avait pour point de départ le rectorat. Les organisateurs de cette marche avaient fixé l’heure du rendez vous à 9heures, finalement c’est vers les coups de 10heures qu’a démarré la randonnée, direction bibliothèque centrale.
Toutes les catégories d’ages (jeunes, vieux, adultes) étaient de la partie. De même que des professeurs d’université, des étudiants étaient présents ainsi que d’autres personnes appartenant à d’autres mouvements associatifs. Ils sont tous là, vêtus de tee- shirt, des banderoles brandies de part et d’autre par des étudiants et prêts à se lancer à la marche. La foule se rue vers la bibliothèque centrale, après une demi-heure de marche, les randonneurs ont atterri leur premier point de destination afin de souffler un peu.
Les marcheurs continuent ainsi leur périple en empruntant la route qui méne vers la direction du Centre des œuvres universitaire de Dakar (COUD). Au cours de cet itinéraire, certains marcheurs interpellés n’ont pas manqué de donner leurs avis sur ce rassemblement, si pour certains la marche leur permet de garder la forme physique d’autres par contre jugent que c’est une bonne occasion surtout pour les étudiants handicapés d’une même université de se rencontrer, mais aussi de se connaître en dehors des cours dans les facultés.
« J’ai trouvé intéressante cette marche, car nous en profitons un peu pour discuter avec les camarades étudiants handicapés, c’est aussi une occasion pour montrer à tout le monde que l’handicapé peut bel et bien réussir dans la vie », renchérit Boubacar Diallo, par ailleurs secrétaire général de l’association des étudiants handicapés de l’Ucad, crée en décembre1994. Ainsi M. Diallo n’a pas manqué de dresser un chapelet de doléances, adressé aux autorités de l’université. Ces doléances sont entre autres; une amélioration des conditions d’études et sociales au campus,par une augmentation du quota des chambres attribué aux étudiants handicapés.
Après leur passage devant la direction du Coud, les marcheurs vont terminer leur randonnée devant le rectorat qui était le point de départ de la marche, à l’arrivée c’est autour de Mouhamadou Moustapha Diop professeur à a faculté des lettres, par ailleurs directeur de la vie estudiantine et des relations avec la cité de livrer son discours devant ses camarades.
« C’est dans le but de mettre en place un programme de sensibilisation et d’identification des étudiants handicapés que nous avons organisé cette manifestation », a précisé en substance M.Diop.
Au finish, à en croire le coordonnateur de cette activité, les objectifs de cette randonnée pédestre sont atteints car « presque tous les étudiants handicapés et même non handicapés se sont mobilisés pour venir en masse honorer cette manifestation. Ensuit nous comptons sur votre concours pour que cette initiative soit pérennisée dans l’avenir »

dimanche 18 avril 2010

QUEL AVENIR POUR LE JOURNALISME EN LIGNE EN AFRIQUE?

L'évolution de la technologie a entrainé des progrés faramineux dans à peu prés tous les domaines mais particuliérement dans celui des médias. C'est ainsi qu'on a constaté pour ces derniéres années la naissance d'une nouvelle sorte de presse utilisant comme support la toile d'arraignée c'est à dire l'internet. En effet le blog constitue un moyen privilégié pour les journalistes en ligne.On les apppelle aussi "journalistes blogggers",on appelle blog ou weblog un site web personnel,composé essentiellement d’actualités ("billets" ou « posts »)présenté sous la forme d’un journal (les billets les plus récents en haut de page). En général, les « posts » sont également regroupés par catégories publié à l’aide d’un outil dynamique conçu spécialement dans ce but  le plus souvent créé et animé par un individu. Aujourd'hui l'internet est devenu un des supports importants pour le journaliste dans sa recherche d'informations ainsi que sa diffusion.Ainsi le journalisme en ligne est entrain de marquer sa place à l'égard des autres médias qu'on a longtemps connu tels que la radio la télévision et la presse écrite. La formalisation du journalisme en ligne en Afrique reste toujours à étre concrétisée. De surcoit,l'internet est devenu un espace d'expression ou la liberté est inctrolable. Donc l'avenir du journalisme en ligne parait pessimiste si on voit qu'il est trés difficile de controler l'internet.

lundi 12 avril 2010

LA FASEG SE DEBARRASE DE SES ORDURES



Coup de balai pour  la FASEG

Les étudiants de l’Amicale comptent pérenniser l’action

L’amicale des étudiants de la faculté des sciences économiques et de gestion a organisé ce samedi, une journée d’investissement humain dans les locaux de ladite faculté et ses environs. Armés d’un arsenal de matériels composé de pèle, de brouette et de râteau, les étudiants ont laissé les stylos, les cahiers pour rendre leur faculté propre. Cette opération dénommée «journée faculté propre », est une initiative des membres de l’amicale de la faseg.

Des étudiants, aux vigiles des lieux, en passant par le personnel administratif des différents services, tous ont déserté les amphithéâtres, les bureaux climatisés pour venir débarrasser ces immondices qui faisaient le décor de la faculté. Malgré la forte canicule qui sévissait à ce moment, les pensionnaires des lieux étaient décidés à faire face à ces tas d’ordures qui rendaient le lieu peu convivial.

Selon Insa Dramé, un étudiant en licence analyse économique, trouvé en pleine activité, « cette journée de set sétal est une opportunité pour donner à notre faculté une belle image à l’égard des autres facultés de l’université ». Une autre étudiante, sous couvert de l’anonymat, une balaie à la main appelle à un suivi de cette journée parce que selon elle il ne sert à rien d’organiser une pareille journée d’investissement, si demain les autres personnes vont venir déposer les ordures aux endroits qui viennent d’être nettoyés.

Trois tours d’horloges ont suffi pour que ce temple du savoir qu’est la Faseg, retrouve sa propreté. En fait cette faculté présentait un visage qui nécessitait un coup de balaie. C’est vers les coups de 13heuresqu’a pris fin cette journée d’investissement à la Faseg.Les étudiants de l’amicale de la Faseg ont bien compris l’adage qui disait, « un esprit sain dans un corps sains »


LES TRAVAILLEURS DE L'ONAS ROMPENT LE SILENCE



Les travailleurs de l’ONAS rompent le silence.

« Le sous-secteur de l’assainissement a été toujours traité en parent pauvre du secteur » selon leur coordonnateur Mohamed Bachir Fall



Le Cadre Unitaire des Syndicats de l’Office National de l’Assainissement du Sénégal (CUS ONAS) était face à la presse ce mardi dans les locaux de la direction de l’ONAS à Hann Mariste. Les travailleurs par la voix de leur coordonnateur Mohamed Bachir Fall, demandent à l’Etat de respecter ses engagements et leur implication dans le processus de la reforme institutionnelle du secteur de l’hydraulique urbain et de l’assainissement au Sénégal.

« L’Etat doit respecter ses engagements dans le cadre du contrat de performance signé avec l’ONAS », a estimé Mohamed Bachir Fall, coordonnateur du Syndicat des travailleurs de l’ONAS, qui parlait hier au cours de la conférence de presse, organisée dans les locaux de la direction de l’ONAS, situés à Hann Mariste. Avec le développement des infrastructures d’assainissement, l’Etat avait pris l'option de signer un contrat de performance avec l’ONAS, afin de gérer toutes les questions liées à l’assainissement.
« Dix huit mois après la signature du contrat de performance, l’Etat n’a pas respecté ses engagements et le déséquilibre structurel de l’ONAS s’est aggravé», a laissé entendre le coordonnateur de ce syndicat. Cette structure, spécialisée dans l’assainissement peine à réaliser ses objectifs, faute de moyens financiers. Elle tire ses principales ressources dans les redevances que lui verse la Société des eaux (SDE). C’est ainsi que le cadre unitaire a invité l’Etat à prendre toutes les dispositions utiles pour l’application immédiate de ses engagements.

L’autre point important évoqué au cours de ce point de presse par le cadre unitaire c’est « l’implication des travailleurs dans le processus de la reforme institutionnelle du secteur de l’hydraulique urbain et de l’assainissement au Sénégal». Cette reforme, initialement prévue en 2011 a été finalement différée de 2 ans. Cette décision prise par le chef de l’Etat de reporter la date a été saluée par les travailleurs. Compte tenu des enjeux socio-économiques liés à cette reforme, les membres de ce syndicat jugent nécessaire de la mise en place d’un cadre permanent formalisé, impliquant les partenaires sociaux pour une pérennité de l’outil de travail et la sauvegarde de leurs emplois. Selon Ndiouga Wade, représentant du secrétaire général de la confédération nationale des travailleurs du Sénégal(CNTS), « l’Etat doit doter l’ONAS des moyens financiers pour mieux accomplir la tache qui lui est confiée et de prendre en charge le volet social des travailleurs».

Au terme de  face à face avec les journalistes, les syndicats ont exprimé leur souhait de rencontrer le président de la République, en vue de lui faire l’économie des difficultés liées à l’accomplissement correct de la mission de service public dévolue à l’ONAS, depuis sa création par la loi numéro 96-02 du 22 février 1996.

                                                                                                                                            


mardi 6 avril 2010

LA COUPE DU MONDE EST -ELLE UN FACTEUR DE DEVELOPPEMENT?


Faisons un peu d'histoire de la coupe du monde avant de répondre à la question, la coupe du monde est -elle un facteur de développement?
La Coupe du monde de la FIFA est une compétition internationale de football qui, ordinairement, se déroule tous les quatre ans dans un pays organisateur. Cette compétition a été créée en France et plus précisément dans la commune de Villefranche-sur-Mer, sur la Côte d'Azur, par Jules Rimet.
Considérée comme la plus grande compétition sportive de la planéte, la coupe du monde ressemble presque tous les peuples venant des quatre coins de la planéte, car elle regroupe une trentaine d'équipes issues des continents européns, americains, africain et asiatique.Vue les infrastructures sportives comme les stades et d'autres annexes qu'on construise dans le pays organisateur à l'occasion de la compétition et la main d'oeuvre utlisée on peut dire que cet evénement constitue un facteur determinant dans l'économie du pays hote.
La compétition permet non seulement au pays organisateur de relancer ses infrastrutures économiques mais galement elle participe à la réduction du chomage si on voit que durant la construction de ses stades on fait recours a à la main d'oeuvre du pays organisateurs.
Si on prend l'exemeple de l'Afrique du Sud, premier pays africain organisateur de la coupe du monde, des ouvriers de ce pays ont été sollicités pour la création de ces inrastructures.La compétition crée bien des emplois permettant des jeunes à gagner leur vie. Durant cet la compétition les hotels sont pris d'assaut par les étrangers, les endroits touristiques visités, par conséquent ya des ressouces générées au profit des gérants de ces structures.
Donc la coupe du monde est bien sur un facteur qui peut participer au développement économique non seulement du pays organisateurs mais aussi les pays voisins.